L\'entrainement en aérobie diminue l\'hyperréactivité bronchique (HRB) et l\'inflammation systémique chez les patients souffrant d\'asthme modéré à sévère: un essai randomisé contrôlé.
Prévalence de la bronchoconstriction induite par l’exercice (BIE) et de l’obstruction laryngée induite par l’exercice (OLIE) dans une population générale d’adolescents.
Quand on subit une anasthésie générale, on ne ressent aucune douleur. Mais le corps souffre quand même ! Heureusement, des substances adaptées apaisent cette « souffrance inconsciente »
Lors d’une opération, l’incision cause une douleur qui se propage le long d’un nerf sensitif jusqu'à la moelle épinière, puis jusqu’au thalamus. Ce dernier transmet l’information au gyrus postcentral, qui participe à la perception de la douleur, et à l’hypothalamus, qui provoque une accélération du rythme cardiaque et une libération d’adrénaline par les glandes médullosurrénales. Pour éviter la douleur et ses conséquences, on combine un hypnotique, tel le profol qui endort le gyrus postcentral et de la morphine qui empêche l’accélération cardiaque et la libération d’adrénaline tout en activant le système de contrôle de la douleur de l’organisme : des voies nerveuses descendant du tronc cérébral diminuent la transmission de la douleur dans la moelle épinière.