L\'entrainement en aérobie diminue l\'hyperréactivité bronchique (HRB) et l\'inflammation systémique chez les patients souffrant d\'asthme modéré à sévère: un essai randomisé contrôlé.
Prévalence de la bronchoconstriction induite par l’exercice (BIE) et de l’obstruction laryngée induite par l’exercice (OLIE) dans une population générale d’adolescents.
Dans ce topic, on va faire des descriptions des universités du monde avec description et son historique, on peut même mettre une photo de l'université.
Une description brève et en un seul post et pas de duplication.
Fondée à Montréal, au Québec, en 1821, l'Université McGill se classe comme chef de file parmi les universités canadiennes. McGill compte deux campus, 11 facultés, 10 écoles professionnelles, 300 programmes d'études et au-delà de 33 000 étudiants, originaires de 160 pays.
L'Université accueille plus de 6 200 étudiants étrangers, qui composent près de 20 pour cent de sa population étudiante. Près de la moitié de ses étudiants ont une langue maternelle autre que l'anglais - dont 6 000 francophones.
Bruxelles, capitale d’un Etat fédéral regroupant 3 communautés de langue différente et cœur de l’Europe depuis 1957, devait avoir une université au diapason. Forte de ses 21 000 étudiants dont 27% d’origine étrangère et d’un personnel lui aussi très cosmopolite, l’ULB est intrinsèquement internationale, ouverte à l’Europe et au monde.
Elle est à l’origine de la création d’un réseau d’universités majeures des capitales européennes – UNICA – et s’est inscrite dans la dynamique de programmes internationaux de recherche/développement et de mobilité.
Multiculturelle, l’Université libre de Bruxelles, avec ses 7 facultés, des écoles et des instituts, est aussi une université complète couvrant toutes les disciplines et tous les cycles d’études.
Avec trois prix Nobel, une médaille Fields, 3 prix Wolf, deux prix Marie Curie et 29 % des prix Francqui attribués, l’ULB est également une grande université de recherche reconnue par la communauté académique mondiale.
Engagée, elle rencontre ses responsabilités sociales, sociétales et scientifiques, en combinant un enseignement de large accès à une recherche de très haut niveau.
Volontaire, elle est un acteur du développement économique des régions où elle est implantée (Bruxelles et Wallonie) ; l’ULB dispose par ailleurs d’un hôpital académique – l’Hôpital Erasme – d’un institut de cancérologie – l’Institut Bordet – et d’un vaste réseau hospitalier.
Depuis une dizaine d’années, l’ULB s’est engagée dans des activités de valorisation de la recherche, à Bruxelles et à Charleroi où elle a déployé un biopôle autour de ses prestigieux « Institut de Biologie et de Médecine Moléculaires » et « Institut d’Immunologie Médicale »
En termes d’alliances, l’Université libre de Bruxelles fait partie de l’Académie universitaire Wallonie-Bruxelles avec l’Université de Mons-Hainaut et la Faculté Polytechnique de Mons. Elle forme également avec 5 Hautes Écoles, l’École royale militaire, 2 instituts d’architecture et 2 établissements supérieurs d’enseignement artistique, le Pôle universitaire européen de Bruxelles Wallonie.
Université privée, reconnue et subsidiée par les pouvoirs publics, l’ULB reçoit une allocation de fonctionnement gouvernementale qui correspond aujourd’hui à 60% de son budget.
Fondée sur le principe du libre examen qui postule l’indépendance de la raison et le rejet de tout dogme, l’ULB est restée fidèle à ses idéaux originels : une institution libre de toute tutelle, engagée dans la défense des valeurs démocratiques et humanistes (y compris dans son mode de gouvernance).
On aimerait bien savoir un peu de nos universités , leurs histoires ,leurs positions internationnelles , les conventions de jumelage avec d'autres universités . si tu peu boss .
Chirurgie du cerveau&Moelle épinière&Rachis
Bien que née tardivement (1983) par rapport à son passé scientifique et culturel de renom, l’Université de Bejaia, établissement public de formation supérieure sous tutelle du Ministère de l’Enseignement Supérieur et de la Recherche Scientifique, a pu s'agrandir et passer d'un effectif de 205 étudiants encadrés par 40 enseignants à son ouverture à un effectif de 22 792 étudiants et 698 enseignants en 2006. Cet essor n’a pu se réaliser qu’avec une diversification judicieuse de ses filières et options.
L’Université de Bejaia regroupe quatre Facultés (Faculté des Sciences et des Sciences de l’Ingénieur, Faculté des Lettres et des Sciences Humaines, Faculté de Droit et de Sciences Economiques et Faculté de la Nature et de Vie.). Elle se déploie sur deux sites principaux (Targa Ouzemmour et Aboudaou).
L’Université de Bejaia dispose d’une bibliothèque centrale pluridisciplinaire, d’une annexe opérationnelle depuis 2002 et d’une bibliothèque au campus d’Aboudaou ouverte en 2003. Elle couvre plus de 35 spécialités avec un fond documentaire riche et dépassant en ouvrage 146 000 volumes, 2500 titres de thèses et mémoires, 300 titres de revue dont 79 en cour d’abonnement et environ 400 CD ROM.
La diversification de filière de formation, la valorisation de la recherche et le transfert de compétences lui ont permis d’être parmi les universités les plus performantes du pays. Devant l’importance grandissante de l’informatique dans les domaines de la vie courante et sa large utilisation dans toutes les filières (technologie, économie, médecine…etc.), l’ouverture de cette spécialité est devenue indispensable. La volonté et le dynamisme des différents responsables ont conduit à l’ouverture d’une Ecole Doctorale en Informatique option Réseaux et Systèmes Distribués : c’est la première du genre dans le pays.
L'Université de Bejaia, à l'instar des autres établissements de l’enseignement supérieur, a mis en place le nouveau dispositif d’enseignement LMD des la rentrés 2004/2005, avec comme première étape une proposition de 33 licences dont 19 professionnelles et 14 académiques
La fondation de coopération scientifique Sorbonne Universités associe les Universités Panthéon-Assas, Paris-Sorbonne et Pierre et Marie Curie.
Ces trois établissements parisiens de renommée mondiale, en tête des classements dans leurs spécialités respectives, droit et économie, lettres et civilisations, sciences et médecine, conduisent de nombreuses actions communes.
Avec plus de 65 000 étudiants, 10 000 enseignants et un budget dépassant les 680 millions d’euros, Sorbonne Universités constitue l’un des premiers pôles universitaires français d'envergure internationale au plan humain, pédagogique, scientifique et économique.
Il ne faut pas être triste
L’Université de Montréal est l'un des quatre établissements d'enseignement supérieur de Montréal au Québec. Elle est l'une des dix grandes universités du Canada (la deuxième en terme du nombre d'étudiants) en plus d'être l'une des trois plus importantes au Québec. Selon une firme de consultants externes, l'Université de Montréal est considérée comme la 2e université canadienne en importance en termes de montant alloué à la recherche en 20063. Elle est classée 107e en 2009 par le classement des meilleures universités dans le monde du Times Higher Education.
Vidéo Youtube
Histoire
En 1878, l'Université Laval de Québec ouvre une annexe à Montréal avec une charte papale. C'est la première université francophone de Montréal et elle compte trois facultés, toutes situées dans le Vieux-Montréal:
théologie (au Grand Séminaire de Montréal);
droit (au Cabinet de lecture des Sulpiciens);
médecine (au château Ramezay).
Le prélat de Québec a ainsi prévalu sur celui de Montréal (Mgr Bourget) qui, lui, voulait une université autonome dans sa ville5.
L'éducation au Québec suivait le modèle français et le niveau secondaire s'effectuait dans des collèges classiques. Ces derniers variaient grandement en qualité, forçant l'Université Laval à Montréal à ouvrir un collège préparatoire pour harmoniser le niveau de ses élèves en 1887. Ce dernier deviendra plus tard la faculté des Arts en 1927 et sera l'ancêtre des CÉGEPs. En 1873, l'Université se dote d'une faculté de génie qu'on nomme l'École polytechnique et en 1907, l'École des hautes études commerciales (HEC) est fondée.
Le 8 octobre 1895, l'Université ouvre les portes de son nouvel immeuble rue Saint-Denis dans ce qui deviendra le Quartier latin de Montréal. Toutes ses composantes ouvrent ou émigrent vers ce secteur où elles demeureront durant plus de quarante ans. Ces édifices, ainsi que de nouveaux dans le même arrondissement, serviront par la suite à la seconde université francophone de Montréal : l'Université du Québec à Montréal (UQAM).
Dès 1889, le Vatican donne une autonomie administrative à cette succursale de l'université Laval qui peut désormais choisir ses professeurs et accorder ses propres diplômes. Mgr Buchési réussit à obtenir du Saint-Siège l'autonomie totale de l’université le 8 mai 1919 et qui sera désormais connue sous le nom de Université de Montréal. Le 14 février 1920, une loi provinciale officialise le tout. La métropole devient enfin indépendante de la capitale. Cet enfantement se fait dans la douleur puisque trois incendies frappent les édifices de l'université entre 1919 et 1921, ce qui force à utiliser une partie des fonds amassés par souscription pour la reconstruction. Malgré tout, sept nouvelles facultés : philosophie, lettres, sciences, médecine vétérinaire, chirurgie dentaire, pharmacie et sciences sociales, économiques et politiques sont fondées et les écoles affiliées sont intégrées entre 1920 et 1925. Selon son nouveau statut, elle est une université civile et Édouard Montpetit est le premier laïc à fonder une faculté : celle des sciences sociales.
Contrairement aux universités anglophones comme l'Université McGill, l'UdeM avait des problèmes à faire des collectes de fonds pour deux raisons: la pauvreté relative de la population francophone de Montréal et la direction de l'université depuis Québec. L'autonomie aida grandement sur ce point en développant un sentiment d'appartenance des Montréalais. Assez de fonds sont accumulés pour permettre en 1930 de démarrer la construction du nouvel édifice de l'UdeM sur le mont Royal selon les plans de l'architecte Ernest Cormier.
L'université, maintenant à l'étroit dans le Quartier latin, doit y déménager ses pénates mais la crise économique des années 1930 met un frein à la construction dès 1931 et la direction songe même à vendre le bâtiment pour payer les salaires de ses employés et enseignants. En 1939, à cause des problèmes financiers, l'université est mise sous tutelle par le gouvernement provincial et ce dernier injecte des fonds qui mèneront au redémarrage de la construction en 1941.
Elle ne s'installe donc sur le flanc du mont Royal qu'en 1943, 300 ans après que Maisonneuve y ait planté sa croix. Ses locaux partiellement inhabités servent à d'autres fins durant la Seconde Guerre mondiale. De 1943 à 1945, dans l'aile ouest du bâtiment principal, des scientifiques travaillent en secret sur un réacteur nucléaire dans le cadre du projet Manhattan.
En 1965, Roger Gaudry, dont le pavillon principal porte aujourd'hui le nom, devient le premier recteur laïc et procède à la réorientation d'une université en plein essor. Avec le baby-boom et la Révolution tranquille, la communauté universitaire a plusieurs défis à relever. Le nombre d'étudiants passe de 6 000 en 1942, 9 000 en 1965 et à plus de 55 000 aujourd'hui.
Un événement marquant des dernières années à l'UdeM est certainement la tuerie de l’École polytechnique de Montréal. Ce jour-là, le 6 décembre 1989, un homme, fusil-mitrailleur au poing, s’introduit dans les bâtiments et abat sauvagement 14 personnes avant de s’enlever la vie. Treize étudiantes et une employée sont tuées, toutes des femmes, en lien avec sa profonde haine du féminisme. Depuis, le 6 décembre de chaque année, Polytechnique se souvient. Une fondation assure la commémoration annuelle de la tragédie, qui fit également une quinzaine de blessées. Une plaque sur la façade de l’immeuble rappelle en permanence le nom des victimes et la place du 6-décembre-1989, angle Decelles et Queen-Mary, souligne la réalité de la violence faite aux femmes.
En 2007, l'université affiche un déficit record de 19 millions de dollars.