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- mercredi 28. octobre 2015
Fibrillation auriculaire
- samedi 19. septembre 2015
L\'entrainement en aérobie diminue l\'hyperréactivité bronchique (HRB) et l\'inflammation systémique chez les patients souffrant d\'asthme modéré à sévère: un essai randomisé contrôlé.
- samedi 15. août 2015
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- mercredi 22. juillet 2015
Le tabagisme passif est associé à l\'inflammation vasculaire...
- dimanche 28. juin 2015
Antibiothérapie versus Appendicectomie en traitement d\'une appendicite aigüe non compliquée: l\'essai clinique randomisé APPAC
- mardi 9. juin 2015
Qualité de l\'air intérieur, ventilation et santé respiratoire chez les résidents âgés vivant en maison médicalisée en Europe.
- jeudi 23. avril 2015
Association entre sauna accidents cardiovasculaires fatals et mortalité toutes causes
- mercredi 11. mars 2015
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- lundi 2. mars 2015
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- dimanche 15. février 2015
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500 000 «nutrinautes» vont détailler leur assiette |
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Le ministère de la Santé fait appel aux volontaires via internet pour mieux connaître les relations entre l'alimentation et certaines pathologies.
Le ministère de la Santé a lancé lundi une grande campagne nationale visant à étudier, via Internet, les comportements alimentaires des Français et leur impact sur la santé. Roselyne Bachelot a expliqué que 500 000 volontaires de plus de 18 ans seront nécessaires pour mener à bien ce projet qui va durer cinq ans. La moitié de ces «nutrinautes» devront être âgés de moins de 45 ans et les autres de plus de 45 ans. L'objectif est de mesurer le lien qui peut exister entre les comportements alimentaires et différents déterminants comme l'activité physique, la corpulence, le tabagisme, les facteurs sociaux, économiques ou encore culturels.
De nombreuses publications scientifiques ainsi que des travaux cliniques montrent que les facteurs nutritionnels peuvent avoir une incidence sur certaines pathologies comme les cancers, les maladies cardio-vasculaires, l'obésité, le diabète de type 2 ou encore l'hypertension artérielle. Or toutes ces pathologies sont des maladies multifactorielles et il est difficile d'évaluer le poids relatif des facteurs nutritionnels. «Si on ne choisit pas ses gènes ni son grand-père ou sa grand-mère, on peut en revanche choisir ce que l'on met dans son assiette», relève le Pr Serge Hercberg, président du programme national nutrition-santé, directeur d'une unité de recherche Inserm et coordonnateur de l'étude.
Les candidats devront répondre à des questionnaires concernant leur activité physique, leur poids et leur taille ainsi que leurs habitudes alimentaires. Pour devenir un «nutrinaute», le volontaire doit remplir un questionnaire de base comprenant cinq grands chapitres : alimentaire, sociodémographique, activité physique, anthropométrie et santé.
Aucun partenaire privé n'a été retenu
Les questions relatives à l'alimentation sont des enregistrements de 24 heures, de minuit à minuit, visant à connaître la nature et la quantité des aliments et boissons consommés ainsi que les conditions de prise (horaires et lieux des repas). Pendant cinq ans, les participants devront remplir à nouveau ces questionnaires, une fois par an. Des chercheurs de l'Inserm, du Conservatoire national des arts et métiers (Cnam), de l'Institut national de la recherche agronomique (Inra) et de l'université Paris-XIII travailleront sur cette enquête. «Les données médicales seront totalement sécurisées, assure Serge Hercberg, elles ne seront pas utilisées à d'autres fins que la recherche.» D'ailleurs, aucun partenaire privé n'a été retenu pour qu'il n'y ait pas de mélange des genres. S'agissant de la fiabilité des réponses, le Dr Hercberg estime que les volontaires répondent plus facilement à un questionnaire sur ordinateur que face à quelqu'un qui les interroge de visu. «Avec Internet, ils n'ont pas de comptes à rendre, ils ne se sentent pas jugés», estime ainsi le chercheur.
Pour recruter une cohorte aussi importante, différents professionnels ont été sollicités, parmi lesquels les boulangers, les bouchers, les détaillants de fruits et légumes mais également des entreprises comme La Poste ou la RATP. Le coût total de l'opération est estimé à près de six millions d'euros.
lefigaro
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