L\'entrainement en aérobie diminue l\'hyperréactivité bronchique (HRB) et l\'inflammation systémique chez les patients souffrant d\'asthme modéré à sévère: un essai randomisé contrôlé.
Prévalence de la bronchoconstriction induite par l’exercice (BIE) et de l’obstruction laryngée induite par l’exercice (OLIE) dans une population générale d’adolescents.
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L'IRM au microscope
Si l'imagerie par résonance magnétique nucléaire ou IRM nous est familière en tant qu'instrument médical pour explorer l'intérieur de notre organisme, des chercheurs ont montré qu'elle pouvait aussi servir à étudier les écoulements microscopiques de fluides dans les « laboratoires sur puce ».
Cette technique devrait ainsi permettre d'améliorer la mise au point de ce type de dispositifs pour qu'ils puissent, par exemple, être incorporés dans des tests médicaux portatifs capables de donner les résultats sur le terrain ou dans des réacteurs de synthèse chimique encore plus petits. L'IRM détecte l'énergie des atomes d'hydrogène dans l'eau lorsqu'ils reprennent leur alignement après avoir été ébranlés par une impulsion radio. En principe, elle devrait bien se prêter à l'étude des écoulements dynamiques dans les canaux de microfluidique. Ces canaux sont toutefois réunis en larges ensembles et les bobines d'IRM assez grandes pour les sonder perdent beaucoup de la sensibilité requise pour donner une image précise de ce qui se passe dans chacun d'entre eux. Vikram Bajaj et ses collègues présentent une approche où les spins des molécules de fluide sur une puce reçoivent un marquage spectral par une bobine de taille normale puis sont analysées à l'aide d'une autre plus petite et plus sensible au travers de laquelle passe le fluide après avoir quitté la puce.
Cette technique précisent les auteurs, pourrait aussi servir à fournir des images de fluides traversant des matériels poreux ou les plus petits vaisseaux sanguins.