L\'entrainement en aérobie diminue l\'hyperréactivité bronchique (HRB) et l\'inflammation systémique chez les patients souffrant d\'asthme modéré à sévère: un essai randomisé contrôlé.
Prévalence de la bronchoconstriction induite par l’exercice (BIE) et de l’obstruction laryngée induite par l’exercice (OLIE) dans une population générale d’adolescents.
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Nouvelle nomenclature des médicaments interdits d'importation
Le ministre de la Santé, de la population et de réforme hospitalière, Djamel Ould Abbès, a annoncé, dimanche à Alger, la nouvelle nomenclature des médicaments interdits d'importation. Le ministre a affirmé lors d'une rencontre avec les producteurs locaux que cette nouvelle nomenclature des médicaments interdits d'importation intervenait dans le cadre de l'organisation du marché national d'une part, et la satisfaction des besoins des citoyens en médicaments, d'autre part. M. Ould Abbès a souligné que cette nouvelle nomenclature comptait 130 médicaments dont 11 nouvelles molécules produites par trois opérateurs qui se sont engagés à fournir ces médicaments dans le cadre d'une convention avec le ministère.
La nouvelle nomenclature comporte également un autre type de médicaments (98 médicaments dont 22 nouvelles molécules produites par deux opérateurs qui sont en mesure de satisfaire les 2/3 des besoins nationaux) d'où le recours du ministère à l'importation du tiers restant, souligne le ministre.
Un troisième type de médicaments figure également dans cette nouvelle nomenclature. Il s'agit de 216 médicaments dont 6 nouvelles molécules produites par un seul opérateur qui ne fournit que 1/3 des besoins. Les 2/3 restants sont importés.
Le ministre a indiqué que l'objectif d'une telle décision était "de mettre fin à la dépendance vis-à-vis de l'étranger" saluant le rôle de certains laboratoires qui se sont conformés à cette décision au moment où d'autres l'on "contournée" en ayant recours à des laboratoires étrangers pour commercialiser le produit dans le pays.
Il a indiqué, par ailleurs, que le soutien de l'Etat intervenait dans le cadre de la politique nationale du médicament visant la promotion de la production nationale afin de couvrir près de 70% des besoins en la matière en 2014.