L\'entrainement en aérobie diminue l\'hyperréactivité bronchique (HRB) et l\'inflammation systémique chez les patients souffrant d\'asthme modéré à sévère: un essai randomisé contrôlé.
Prévalence de la bronchoconstriction induite par l’exercice (BIE) et de l’obstruction laryngée induite par l’exercice (OLIE) dans une population générale d’adolescents.
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Mise en évidence d'un lien entre consommation d'amphétamines et maladie de Parkinson
Des chercheurs américains ont mis en évidence un lien entre consommation d'amphétamines, notamment la benzedrine et la dexedrine, et risque accru de développer la maladie de Parkinson. Présentée à l'occasion du 63e meeting annuel de l'American Academy of Neurology, qui se tiendra du 9 au 16 avril prochain, cette étude montre que les patients ayant reçu ce type d'amphétamines ont beaucoup plus de chances de développer la maladie de Parkinson à long terme.
Généralement indiqué pour renforcer la vigilance et l'orientation chez les patients souffrant de troubles de l'hyperactivité, les amphétamines benzedrine et dexedrine pourraient augmenter le risque de développer la maladie de Parkinson.
Les chercheurs ont suivi et étudié les données de plus de 66.000 personnes entre 1964 et 1973, puis en 1995. Au total, quelque 1.154 personnes étaient atteintes de la maladie de Parkinson à l'issue de l'étude.
Les scientifiques ont ainsi observé que les patients ayant reçu les amphétamines en question étaient 60% plus susceptibles de développer la maladie de Parkinson, par rapport à ceux n'ayant pas consommé ce type de spécialités médicales.
"Si d'autres études confirment ces résultats, le risque potentiel de développer la maladie de Parkinson à partir de ces types d'amphétamines devra être considéré par les médecins avant de prescrire ces médicaments", concluent les principaux auteurs de l'étude.