L\'entrainement en aérobie diminue l\'hyperréactivité bronchique (HRB) et l\'inflammation systémique chez les patients souffrant d\'asthme modéré à sévère: un essai randomisé contrôlé.
Prévalence de la bronchoconstriction induite par l’exercice (BIE) et de l’obstruction laryngée induite par l’exercice (OLIE) dans une population générale d’adolescents.
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SACRIFICE DU MOUTON DE L’AÏD À SIDI-BEL-ABBÈS 2e cas de TBC
2e cas de tuberculose ovine en 10 ans
Un deuxième cas de tuberculose ovine, une maladie très très rare chez le mouton puisqu’on compte 1 cas sur 100 000 bêtes, a été détecté au niveau de l’abattoir de Sid-Bel-Abbès lors du sacrifice du mouton de l’Aïd El-Adha dernier.
Ce cas est le deuxième du genre découvert dans l’abattoir municipal depuis plus d’une décennie. Aussitôt le cas détecté, les services vétérinaires ont saisi la carcasse de la bête malade et pris les mesures de prévention qui s’imposent, à savoir remonter jusqu’à l’éleveur qui a vendu la bête. Des prospections ont été menées chez les bêtes qui n’ont pas été cédées pour s’assurer de l’absence d’autres cas et apparemment, pas d’ovins tuberculeux à signaler.
La tuberculose ovine est une maladie très grave qui se transmet rapidement à l’homme, nous a souligné M. Amroun, responsable de l’inspection vétérinaire. D’où l’importance de l’avis d’un vétérinaire en cas de doute. Les services vétérinaires ont lors de la fête de l’Aïd El- Adha mené leur mouvement de protestation tout en assurant leur permanence et ce, dans le but de protéger le consommateur. Ils ont intervenu au niveau de l’abattoir municipal et des sites autorisés (les aires des ensembles d’immeubles des cités) pour mener leurs opérations de détection de maladies. Aucun cas de peste de petits ruminants a été recensé.
Par contre, beaucoup de bêtes sacrifiées présentaient des signes de maladies de poumons, ce qui a nécessité l’enfouissement des organes infectés. Par ailleurs, un résultat encourageant a été enregistré à Sidi-Bel-Abbès avec une régression considérable des kystes hydatiques grâce à un travail de longue haleine de sensibilisation des populations mené par les services de la santé et ceux des vétérinaires. Cependant, a tenu à conclure M. Amrou, la vigilance reste de mise pour éviter d’éventuelles contaminations.