L\'entrainement en aérobie diminue l\'hyperréactivité bronchique (HRB) et l\'inflammation systémique chez les patients souffrant d\'asthme modéré à sévère: un essai randomisé contrôlé.
Prévalence de la bronchoconstriction induite par l’exercice (BIE) et de l’obstruction laryngée induite par l’exercice (OLIE) dans une population générale d’adolescents.
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Les maladies du cœur peuvent être un facteur de risque de cancer de la prostate
Les maladies du cœur peuvent être un facteur de risque de cancer de la prostate, selon une nouvelle étude.
Si ce lien est confirmé dans de futures recherches, cela signifie que les changements de style de vie qui réduisent le risque de maladie cardiaque - comme la perte de poids, l'exercice et une alimentation saine - peuvent également protéger les hommes contre cancer de la prostate, les chercheurs de l'Institut du cancer de Duke dit.
"Ce qui est bon pour le cœur peut être bon pour la prostate", auteur de l'étude le Dr Jean-Alfred Thomas II, un stagiaire postdoctoral dans la division de l'urologie.
Lui et ses collègues ont analysé les données de 6,390 hommes dans un procès de quatre ans de recul clinique testant l'efficacité d'un médicament dans la réduction du risque de cancer de la prostate. Parmi ces hommes, 547 ont signalé des antécédents de maladie coronarienne avant le début du procès.
Les chercheurs de Duke ont trouvé que les hommes avec une maladie coronarienne avaient un risque 35 pour cent plus élevé de développer un cancer de la prostate au cours du temps et un risque de 24 pour cent plus d'être diagnostiqué avec le cancer de la prostate au cours des deux premières années de l'étude par rapport aux hommes qui n'ont pas eu la maladie du cœur.
Quatre ans après le début de l'essai clinique, les hommes atteints de maladie coronarienne avaient un risque 74 pour cent plus élevé de cancer de la prostate que ceux qui n'ont pas une maladie cardiaque.
"Nous avons contrôlé un certain nombre de facteurs de risque, y compris l'hypertension, la prise de statines ou d'aspirine,» a déclaré Thomas. "Nous n'avons pas une bonne prise sur ce qui cause le lien, mais nous observons cette association."
L'étude est publiée en ligne ce mois-ci dans la revue Epidemiology cancer, Biomarkers & Prevention.
La maladie coronarienne est la principale cause de décès parmi les adultes aux États-Unis, et le cancer de la prostate est le deuxième type le plus mortel des cancers chez les hommes aux États-Unis, a noté le communiqué.