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Lien confirmé entre hormones et cancer du sein
Revue scientifique
Une nouvelle étude affirme que le traitement hormonal de la ménopause majore le risque de cancer du sein.

Prévention du vieillissement de la peau, lutte contre l'ostéoporose, contre les maladies cardio-vasculaires : le traitement hormonal de la ménopause, à base d'œstrogènes et de progestérone, a été paré de toutes les vertus à partir des années 1960-70. Il aura fallu plus de vingt ans pour faire admettre que non seulement ce traitement ne répond pas à toutes ces attentes, mais qu'en plus il majore le cancer du sein. Pourtant des enquêtes publiées à la fin des années 1980 laissaient déjà entrevoir un tel risque.

Malgré tout il y a toujours de nombreux débats, dans notre pays, pour savoir si le type d'hormones influence le niveau de risque ; si l'augmentation du cancer avec le traitement n'est pas en réalité due à un effet «dépistage» par mammographie plus fréquent chez les femmes sous hormones ; pour savoir si les hormones ne jouent pas seulement un rôle de promoteur d'un cancer existant déjà… Certains praticiens ont encore du mal à croire aux dangers des hormones, et d'autres restent persuadés que les bénéfices excèdent les risques.

En 2002, après des années de controverses, les premiers résultats d'une très grande enquête américaine, dite «Women Health Initiative» (WHI), comparant des femmes ménopausées traitées avec des hormones à celles ne prenant pas de traitement, affichaient sans contestation possible un risque accru de cancer du sein sous hormones. Cette publication s'est traduite par un désenchantement et un désengouement pour ce traitement partout dans le monde. Les femmes ont largement renoncé aux hormones, en Europe, aux États-Unis et en Australie. Dès les années 2005-2006, les statistiques dans plusieurs pays, notamment en France, aux États-Unis, en Australie ont mis en évidence une baisse non négligeable des taux de cancers du sein.

La première idée qui s'est imposée est que cette réduction était la simple conséquence d'une chute spectaculaire de la prise d'hormones. Cette idée a été rapidement contestée par des spécialistes qui soutenaient que c'était non pas l'arrêt des hormones, mais l'arrêt du dépistage par mammographie, chez les femmes n'ayant plus besoin de consulter leur gynécologue pour avoir l'ordonnance d'hormones, qui expliquait cette évolution.

Le risque varie en fonction du type de traitement

Jeudi dans le New England Journal of Medicine, des médecins américains de la Women Health Initiative (WHI) publient une analyse approfondie de leurs données qui indiquent que c'est bien la régression de l'utilisation du traitement hormonal et non pas le moindre recours à la mammographie de dépistage qui explique cette baisse des cancers du sein. Pour aboutir à cela, les auteurs ont utilisé non seulement l'enquête WHI mais aussi une autre étude dite prospective, portant sur plus de 25 000 femmes ménopausées surveillées pendant dix ans de 1994 à 2005.

Ils ont examiné les taux de cancer en fonction de la prise ou non d'hormones (œstradiol d'origine équine et acétate de medroxyprogestérone) et en fonction de la fréquence des mammographies. «L'augmentation du risque de cancer du sein liée aux œstrogènes et à la progestérone a baissé de manière notable rapidement après l'arrêt des hormones, mais n'est pas liée à des changements dans la fréquence des mammographies.»

En France, une étude prospective toujours en cours a montré que le risque de cancer du sein varie en fonction du type de traitement hormonal utilisé. Certaines molécules auraient un moindre impact, mais pourraient présenter d'autres problèmes, selon des études à paraître bientôt. Actuellement, ces traitements sont prescrits pour des durées limitées, notamment en cas de bouffées de chaleur insupportables.

lefigaro

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