L\'entrainement en aérobie diminue l\'hyperréactivité bronchique (HRB) et l\'inflammation systémique chez les patients souffrant d\'asthme modéré à sévère: un essai randomisé contrôlé.
Prévalence de la bronchoconstriction induite par l’exercice (BIE) et de l’obstruction laryngée induite par l’exercice (OLIE) dans une population générale d’adolescents.
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Grève des praticiens de la santé
Le mouvement bien suivi
Une semaine après l’enclenchement d’une grève illimitée, le Syndicat national des praticiens de la santé publique (Snpsp) dit être en « position de force ». Le taux de suivi, si l’on en croit le syndicat, a marqué une hausse hier, atteignant les 80%.
Si les pouvoirs publics persistent à faire la sourde oreille, préviennent les responsables du Snpsp, le mouvement pourrait se durcir davantage à travers d’autres formes de contestation. Les revendications du Snpsp – qui englobe les médecins spécialistes, les généralistes, les chirurgiens dentistes et les pharmaciens – tournent principalement autour de la promulgation du statut particulier des praticiens, de la reconnaissance du syndicat comme partenaire social à part entière ainsi que de la révision du régime indemnitaire des praticiens de la santé publique. Il est à rappeler, par ailleurs, que suite à une plainte déposée par le ministère de la Santé, la grève a été jugée « illégale » par la cour d’Alger.
N’ayant pas reçu de notification écrite du jugement, le syndicat des praticiens de la santé a décidé de poursuivre le mouvement de protestation jusqu’à la prise en charge des doléances. A cet égard, le SNPSP a interpellé, une nouvelle fois hier, « les pouvoirs publics et à leur tête le président de la République afin de prendre en charge, de manière aussi rapide qu’efficace, les revendications des praticiens de la santé publique qui, de par leur cursus universitaire et de par la lourde et noble mission qu’ils accomplissent, méritent beaucoup plus d’égard, de considération et une rémunération à la hauteur de leur statut de cadre de la nation ».