Santé: Pas de galon pour la maternité Gasser !
Publié par hammar le Avril 05 2009 18:44:26
Annoncée comme établissement hospitalier spécialisé (EHS) en généalogie et pédiatrie, la maternité Gasser, dont les travaux de réfection et d'aménagement sont en cours...

Nouvelles étendues

Annoncée comme établissement hospitalier spécialisé (EHS) en généalogie et pédiatrie, la maternité Gasser, dont les travaux de réfection et d'aménagement sont en cours d'achèvement, sera rattachée à l'EPSP Bouamama. Ceci du fait que le nombre de lits, une trentaine, ne lui permet pas d'accéder au statut d'EHS: elle ne sera donc qu'une maternité urbaine.

C'est ce qu'on apprend à la Direction de la santé, de la population et de la réforme hospitalière. Notre source précise que la seule structure appelée à obtenir ce statut est celle de Sainte-Anne, dont les travaux de réhabilitation tirent à leur fin et son ouverture programmée incessamment. Pour ce qui est de la première structure, sise à l'avenue Emir Khaled, sa position de proximité lui permet de répondre à la demande de la région ouest de la ville d'Oran et de désengorger un tant soi peu la pression sur la maternité des Amandiers. Notre source n'avance cependant aucune date pour l'ouverture de ces deux structures fermées depuis plusieurs années. Par ailleurs, concernant le service d'hémodialyse ouvert depuis deux ans à la polyclinique de Petit-Lac au même titre que celui mis en service à Aïn El-Turk, notre source infirme la rumeur faisant état de son rattachement au CHUO.

Par conséquent, le service en question demeurera toujours au niveau de cette structure gérée par l'EPSP El-Ghoualem. Cette alternative avait été mise en avant du fait que les malades se présentant au niveau de ce service sont considérés comme étant des hospitalisés, étant donné que les séances d'hémodialyse durent plusieurs heures.

Du coup, le problème de la restauration s'est posé à un certain moment et l'ancien secteur sanitaire Ouest avait sollicité une association caritative pour servir des repas chauds aux malades du fait que le CHU n'était pas engagé pour cette tâche.

Le personnel en place avance que le problème persiste et que certains malades sont souvent contraints à s'alimenter de leurs propres moyens, alors que leur alimentation devrait se faire sous surveillance médicale.


le quotidien d'oran