L\'entrainement en aérobie diminue l\'hyperréactivité bronchique (HRB) et l\'inflammation systémique chez les patients souffrant d\'asthme modéré à sévère: un essai randomisé contrôlé.
Prévalence de la bronchoconstriction induite par l’exercice (BIE) et de l’obstruction laryngée induite par l’exercice (OLIE) dans une population générale d’adolescents.
La relation entre qualité de l'air intérieur, les paramètres de confort et la morbidité respiratoire chez les personnes âgées vivant en permanence dans des maisons médicalisées a été étudiée chez 600 personnes âgées dans 50 maisons médicalisées.
Le rapport VEMS/CVF a été significativement étroitement lié aux concentrations élevées des particules avec un seuil de 50% pour un diamètre aérodynamique de <0.1µm (PM0.1) (ORajusté: 8.16) et NO2 (ORa: 3.74). Les excès de risque pour la dyspnée et la toux fréquente ont été trouvés avec des PM10 élevés (respectivement ORa:1.53 et ORa: 1.73) et avec NO2 (respectivement ORa: 1.58 et 1.56). Les excès de risque de sifflements l'année écoulée ont été trouvés avec les PM0.1 (ORa: 2.82) et pour les BPCO et le CO expiré avec formaldéhyde (respectivement ORa: 3.49 et 1.25). L'essoufflement et la toux ont été associés à des CO plus élevés. L'humidité relative a été inversement liée aux sifflements l'année écoulée et à la toux habituelle. Les sujets âgés de plus de 80 ans avaient un risque plus élevé. Les effets des polluants étaient plus prononcés en cas de mauvaise ventilation.
Au total, même à faibles concentrations, la qualité de l'air intérieur affecte la santé respiratoire des personnes âgées vivant en maison médicalisée de façon continue avec une fragilité majorée avec l'âge. Ces effets sont modulés par la ventilation