L\'entrainement en aérobie diminue l\'hyperréactivité bronchique (HRB) et l\'inflammation systémique chez les patients souffrant d\'asthme modéré à sévère: un essai randomisé contrôlé.
Prévalence de la bronchoconstriction induite par l’exercice (BIE) et de l’obstruction laryngée induite par l’exercice (OLIE) dans une population générale d’adolescents.
Il recherche les antécédents gynéco-obstétricaux (grossesses antérieures, allaitement maternel ou artificiel, antécédent d’abcès du sein, traitements hormonaux), les antécédents médicaux (notion d’absorption médicamenteuse autre que les traitements hormonaux [antidépresseurs, antihypertenseurs, antiulcéreux]), les antécédents chirurgicaux (en particulier un adénome à prolactine), les antécédents familiaux (cancer du sein chez la mère, la soeur).
Il précise le caractère spontané ou provoqué de l’écoulement, son ancienneté, son aspect, sa couleur, son caractère uni- ou multipore.
Elle recherche une absence de déformation, une absence d’anomalies mamelonnaires et la présence de lésions cutanées à type d’ulcérations, de lésions eczématiformes.
La palpation :
Elle recherche une tuméfaction. La pression du mamelon met en évidence la présence d’un écoulement mamelonnaire, et précise son caractère uni- ou pluricanalaire, uni- ou bilaléral et sa couleur. Enfin, la palpation de la région axillaire et des creux sus-claviculaires recherche d’éventuelles adénopathies.
Au terme de l’interrogatoire et de l’examen clinique, devant une galactorrhée blanchâtre, multipore, uni- ou bilatérale, on évoquera une cause principalement médicale :
– Traitements hormonaux (oestrogènes, associés ou non à des progestatifs)
– Lésions hypophysaires (adénome à prolactine, acromégalie)
– Syndrome de Cushing
– Médicaments (neuroleptiques, benzodiazépines, réserpine, dérivés de la papavérine, cimétidine, alphaméthyldopa, opiaciés...)
– Hyperprolactinémie fonctionnelle
– Autres causes plus rares (hypothyroïdie périphérique, insuffisance rénale, herpès thoracique, syndrôme paranéoplasique producteur de prolactine). Dans certains cas, l’étiologie n’est pas retrouvée.
L’examen sera complété par un examen gynécologique, afin d’éliminer une grossesse, et un examen général complet à la recherche de signes tumoraux (hémianopsie bitemporale, céphalées...).
En fonction de l’étiologie suspectée, on pratiquera :
– Un dosage de prolactine : une prolactinémie supérieure à 25 ng/ mL doit faire évoquer un micro ou un macroadénome à prolactine
– Un scanner cérébral centré sur la selle turcique à la recherche d’un processus expansif hypophysaire
– Un champ visuel
– Un fond d’oeil.
Si la galactorrhée ne présente pas un aspect blanchâtre habituel, multipore, on devra pratiquer :
– Un examen cytologique de l’écoulement (aspect des cellules, présence d’hématies)
– Une mammographie bilatérale (face, profil, trois quarts) qui confirmera la présence d’une masse palpable et qui recherchera la présence de microcalcifications groupées, plus ou moins étendues, évoquant une prolifération intragalactophorique maligne et une galactographie consistant en une injection de produit de contraste hydrosoluble, radio-opaque dans le canal dilaté, afin d’en visualiser le contenu. Cet examen est utile uniquement si l’écoulement est unipore. Cette galactographie est contre-indiquée si l’écoulement est purulent et elle permet de visualiser la présence d’une ou plusieurs lacunes régulières. Si la lacune est unique, on évoque un papillome. En revanche, si elles sont multiples, il faut penser à une papillomatose, dilatation globale de l’axe galactophorique avec des canaux de 2 à 3mm de largeur, à bords réguliers. Si la dilatation est associée à des lacunes multiples d’aspect irrégulier, on évoque un épithélioma
– Enfin, on proposera une échographie qui permettra de visualiser une dilatation canalaire importante ou de localiser une masse profonde non palpable. Mais l’intérêt est limité dans cette indication.
– L’arrêt d’un médicament responsable
– Le traitement d’une pathologie endocrinologique (hypothyroïdie périphérique, syndrome de Cushing...).
En cas de macroadénome à prolactine ou de processus expansif hypophysaire, il faudra envisager un traitement chirurgical.
En cas de microadénome à prolactine ou d’hyperprolactinémie fonctionelle, le traitement repose sur la prescription de bromocriptine (Parlodel : 2 comprimés/j).