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La molécule qui freine le Parkinson
Actualités médicales
La rasagiline ne se contente pas de lutter contre les signes mais ralentit la progression du handicap.

Un nouveau médicament dont les essais cliniques sont en cours chez l'homme aurait un effet direct sur la maladie de Parkinson et pas seulement sur ses symptômes. Cette pathologie, qui touche près de 150 000 personnes en France, résulte de la dégénérescence, dans la profondeur des noyaux gris centraux du cerveau, des neurones «dopaminergiques». La détérioration de ces neurones, très impliqués dans les activités motrices, explique nombre des symptômes qui touchent les malades, les tremblements, les raideurs caractéristiques de l'affection.

Depuis 1950, un médicament synthétisé à partir de deux acides aminés très fréquemment trouvés dans les plantes, la L-Dopa et ses dérivés, a transformé la vie quotidienne de nombreux parkinsoniens. La découverte a même été saluée par deux Prix Nobel de médecine en 2000 et de chimie en 2001. Aujourd'hui, il existe tout un arsenal de nombreuses substances pharmacologiques dites «dopaminergiques» capables de restaurer la production de dopamine, le neurotransmetteur qui est tari dans le cerveau des malades. Mais aucun de ces médicaments n'agit sur la maladie en elle-même qui, bien souvent, continue à évoluer pour son propre compte.

La découverte publiée jeudi par une équipe américano-française dans le New England Journal of Medicine a été faite par Olivier Rascol (CHU de Toulouse) et Warren Olanow (Mount Sinai Hospital, New York). Complétant une étude similaire réalisée sur ce médicament, la rasagiline, ce nouvel essai en double aveugle a été réalisé sur près de 1 200 malades avec un suivi de dix-huit mois, dans une centaine de centres en Europe et aux États-Unis.

Les investigateurs ont scindé la cohorte en plusieurs groupes, certains traités dès le début de l'étude durant dix-huit mois, les autres seulement pendant les neuf derniers mois. Les malades étaient tirés au sort, la moitié recevant une dose d'un milligramme par jour, l'autre prenant 2 mg de ce médicament d'ores et déjà autorisé en France, sous le nom de Azilect, mais dont le prix n'a toujours pas été fixé par la commission de transparence de l'Afssaps (Agence française de sécurité sanitaire des produits de santé).

Mécanismes de compensation

Les chercheurs ont suivi l'évolution des patients afin de mesurer par des tests l'aggravation de la maladie au fil du temps (il existe en effet des échelles de score du Parkinson, utilisées par les neurologues dans le monde entier). Résultat : les malades prenant la dose la plus faible le plus tôt avaient au bout de dix-huit mois un score légèrement meilleur que les malades ayant reçu cette dose seulement au bout de neuf mois. «Cet effet va dans le sens d'une modification du cours de la maladie par la rasagiline, estime Pierre Pollak (CHU Grenoble). C'est une étude très bien conduite, robuste, mais comme le reconnaissent les auteurs, on ne retrouve pas cet effet avec la dose la plus importante.» Depuis quelques années, en neurologie un courant de pensée estime que les traitements précoces (et pas seulement avec la rasagiline) pourraient mettre en œuvre des mécanismes de compensation de la maladie qui ne s'épuiseraient pas au cours du temps. JMB Mais les auteurs eux-mêmes reconnaissent qu'avec la plus forte dose de rasagiline (2 mg), ils n'observent pas cet avantage du traitement


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