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les réanimateurs se préparent |
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À la lumière de l'épidémie en Australie, les unités de soins intensifs français prévoient de recevoir 2 500 patients pour des formes graves.
Comment l'épidémie de grippe A H1N1 va-t-elle évoluer en France, combien de personnes auront une forme grave ? Pour se préparer, les spécialistes s'appuient sur des modèles mathématiques, et regardent avec attention l'expérience des pays de l'hémisphère Sud, qui viennent de passer leur premier hiver avec le virus pandémique, et sans vaccin. En Australie et en Nouvelle-Zélande, le H1N1 a multiplié par quinze le nombre d'admissions en réanimation par rapport au taux habituel de pneumonies virales, révèle une étude publiée dans le New England Journal of Medicine.
De juin à août, 722 malades avec une infection prouvée à H1N1 ont été hospitalisés dans les 187 unités de soins intensifs que comptent l'Australie et la Nouvelle-Zélande ; un chiffre à rapporter à la population des deux pays, respectivement 20 et 4 millions de personnes. Près de la moitié de ces patients souffraient d'une pneumonie sévère due au virus, environ 15 % (103) sont décédés. Comme d'autres auteurs, le Dr Steven Webb (Perth) et ses collègues ont retrouvé des profils particuliers associés à ces formes graves : 28 % des malades étaient obèses, un tiers avait un asthme ou une maladie pulmonaire chronique.
A la limite de la saturation en hiver
Près d'un sur dix était une femme enceinte, alors que celles-ci ne représentent que 1 % de la population australienne et néo-zélandaise. Le Dr Webb signale aussi un excès de risque chez les enfants de moins d'un an, chez les adultes de 25 à 64 ans, et parmi les populations aborigènes et néo-zélandaises. Près d'un malade sur trois n'avait aucun contexte médical particulier. En France, les services de réanimation s'organisent depuis plusieurs mois en vue de la vague épidémique. Un plan blanc élargi - qui permet de mobiliser du personnel supplémentaire - a été mis en place.
En extrapolant les données australiennes à la population française, la Société de réanimation de langue française (SRLF) estime que près de 2 500 malades grippés pourraient nécessiter un accueil en réanimation. Les capacités actuelles sont de 4 769 lits adultes, mais ceux-ci sont répartis inégalement sur le territoire et souvent à la limite de la saturation en hiver, précise le Pr Bertrand Guidet, président de la SRLF. «Nous devrions pouvoir faire face, mais l'expérience de l'hémisphère Sud montre qu'il faut vraiment se préparer à des formes graves inhabituelles. Habituellement, nous ne voyons pas de grippe maligne. Là, quelques patients grippés commencent à être admis dans nos services.» Il y en aurait au moins trois en Ile-de-France
lefigaro
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