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- mercredi 28. octobre 2015
Fibrillation auriculaire
- samedi 19. septembre 2015
L\'entrainement en aérobie diminue l\'hyperréactivité bronchique (HRB) et l\'inflammation systémique chez les patients souffrant d\'asthme modéré à sévère: un essai randomisé contrôlé.
- samedi 15. août 2015
Consommation d\'aliments épicés et mortalité toutes causes et spécifiques: une étude de cohorte basée sur la population.
- mercredi 22. juillet 2015
Le tabagisme passif est associé à l\'inflammation vasculaire...
- dimanche 28. juin 2015
Antibiothérapie versus Appendicectomie en traitement d\'une appendicite aigüe non compliquée: l\'essai clinique randomisé APPAC
- mardi 9. juin 2015
Qualité de l\'air intérieur, ventilation et santé respiratoire chez les résidents âgés vivant en maison médicalisée en Europe.
- jeudi 23. avril 2015
Association entre sauna accidents cardiovasculaires fatals et mortalité toutes causes
- mercredi 11. mars 2015
Associations dose-réponse entre une activité cycliste et le risque d\'hypertension artérielle (HTA)
- lundi 2. mars 2015
Longévité et déterminants de l\'immunité humorale protectrice après infection grippale pandémique.
- dimanche 15. février 2015
Prévalence de la bronchoconstriction induite par l’exercice (BIE) et de l’obstruction laryngée induite par l’exercice (OLIE) dans une population générale d’adolescents.
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ECG
Cardiologie
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17e congrès national de néphrologie |
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100 nouveaux cas d’insuffisance rénale chronique signalés par an
Dans notre pays, l’affection rénale occupe une place particulière en santé publique, compte tenu de l’augmentation de son incidence - 100 nouveaux cas/an- et des coûts inhérents à sa prise en charge.
Ainsi, le nombre d’Algériens arrivant au stade terminal de l’insuffisance rénale chronique et nécessitant un traitement par les méthodes de suppléances est estimé à 3500 patients/an pour une population de 35 millions dont 75% ne sont pas traités. » C’est ce qu’a déclaré le professeur Tahar Rayane, le président de la société algérienne de néphrologie, dialyse et transplantation rénale en marge du 17e Congrès national et 5èmes journées nationales de néphrologie, organisés dernièrement et pour la première fois à Annaba. Le professeur Ahsène Atik, le vice-président de la société arabe et la société algérienne de néphrologie, et chef de service de néphrologie à l’hôpital Ibn Sina du CHU Ibn Rochd de Annaba, a précisé dans ce sens : « L’objectif de notre rencontre est la mise à niveau et l’amélioration de la prise en charge des 12 500 insuffisants rénaux chroniques traités par hémodialyse dans les 270 centres que compte le pays. Non moins importantes, la sensibilisation et la prévention sont deux vecteurs permettant un dépistage précoce de l’affection rénale et bien sûr une prise en charge à temps. »
L’ensemble des néphrologues et urologues algériens, aux côtés de leurs pairs étrangers venus du Liban, Koweït, de Syrie et France, a donc été sollicité à Annaba pour prendre part à cet important évènement médical. Plus de 36 communications ayant trait aux différentes pathologies ont été largement débattues par les congressistes, dont huit orales libres. Face à leurs confrères de tous les CHU du pays, ils ont été amenés à rétablir une configuration plus équilibrée de cette importante discipline médicale. Durant deux jours donc, quelque 350 spécialistes nationaux, arabes et européens, dont d’imminents professeurs et chercheurs de renommée tels les professeurs M. Benabadji, T. Rayane et A. Atik, ont eu à défendre des thèses et échanger des expériences. Ils ont eu également à participer à une formation médicale continue dont le thème est « Confrontations anatomo-cliniques de cas de GNC et transplantation rénale ». Il s’agissait pour les néphrologues de combler les brèches en matière de sensibilisation et de prévention, de consolider et d’approfondir la communication dans le monde de la néphrologie et la transplantation rénale, une spécialité en butte à plusieurs problèmes, notamment au CHU de Annaba. Spécialistes en néphrologie, en médecine légale, radiothérapeutes, médecins en post-graduation et étudiants en sciences médicales ont eu hier du pain sur la planche pour s’interroger, développer et convaincre. Sur le volet de la transplantation rénale en Algérie, le constat est amer : de l’avis des spécialistes, cette intervention chirurgicale, lourde de surcroît, a été délaissée par le ministère de tutelle. « Il a préféré investir dans les implants cochléaires dont l’unité coûte prés de 2,5 millions de dinars pour une pathologie secondaire, que de s’engager dans la transplantation rénale sachant que les frais de la prise en charge d’un malade transplanté sont réduit à 50% après l’intervention », ajoutent les mêmes sources. Ce dont ne doute pas le Pr. Kadi qui a exigé l’implication de tout le monde pour réussir cette noble mission.
EL WATAN |
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