L\'entrainement en aérobie diminue l\'hyperréactivité bronchique (HRB) et l\'inflammation systémique chez les patients souffrant d\'asthme modéré à sévère: un essai randomisé contrôlé.
Prévalence de la bronchoconstriction induite par l’exercice (BIE) et de l’obstruction laryngée induite par l’exercice (OLIE) dans une population générale d’adolescents.
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Cancer du rein : 3 ans de survie gagnés
Monde - A l’occasion de la Journée mondiale du rein, l’Association pour la recherche sur les tumeurs du rein (ARTuR) et Pfizer France souhaitent faire connaître le cancer du rein, une pathologie encore mal connue mais ayant bénéficié de nombreux progrès médicaux au cours des quatre dernières années.
L’incidence du cancer du rein est en constante augmentation depuis 40 ans dans tous les pays industrialisés : on compte 8.000 à 9.000 nouveaux cas chaque année en France, entraînant 3.500 décès annuels. Le cancer du rein métastatique est une maladie de mauvais pronostic : seuls 5 à 23% des patients atteints survivent 5 ans à la maladie.
Mais l'optimisme est plus que jamais de rigueur : "En 4 ans, cinq molécules ont été mises à notre disposition, c’est unique en cancérologie !" souligne le Dr Bernard Escudier. Et les progrès thérapeutiques majeurs de ces dernières années se mesurent actuellement en termes d’allongement de la survie. Avec un arsenal thérapeutique en pleine évolution, on peut aujourd’hui parler du cancer du rein comme d’une affection évoluant vers une maladie chronique, contrôlable sur un plus long terme et avec laquelle le patient doit apprendre à vivre.
La meilleure compréhension du rôle de l’angiogenèse (croissance de nouveaux vaisseaux sanguins, ndlr) dans la maladie a complètement bouleversé la prise en charge médicale du cancer du rein. Les anti-angiogéniques (anti-VEGF) sont des thérapies ciblées, aujourd’hui utilisées dans le traitement de plusieurs cancers à des stades avancés et leurs indications ne cessent de s’élargir.