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Les réseaux sociaux augmentent la taille de votre cerveau !
Recherches médicalesPour savoir si une personne a beaucoup d’amis, observez son profil Facebook ou… son cerveau ! Les personnes possédant un cercle social étendu et complexe auraient en effet une augmentation significative du volume des amygdales.


Utiliser Facebook implique-t-il d'avoir un cerveau particulier ? A priori oui, d’après des chercheurs de Boston. Des structures cérébrales particulières nommées amygdales, en plus d’être impliquées dans les émotions, sont aussi requises pour la socialisation des espèces animales. En effet, cela avait pu être montré grâce à des études antérieures basées sur des comparaisons des cerveaux des primates non humains où la taille des amygdales était corrélée au nombre moyen d’individus constituant le groupe.


Mais si l’amygdale semble donc être importante pour la socialisation des animaux, sa taille diffère-t-elle également parmi les être humains en fonction de leur réseau social ? Des chercheurs de la Northeastern University à Boston se sont intéressés à la question et ont choisi d’y répondre en observant la taille des amygdales de 58 personnes adultes en bonne santé physique et psychologique. Pour évaluer la complexité des réseaux sociaux de ces personnes, les chercheurs ont utilisé deux variables : une première comprenant le nombre global de personnes avec qui les volontaires entretenaient des contacts réguliers, et une deuxième indiquant le nombre de différents groupes dont ces contacts faisaient partie (famille, collègues…).



Une observation du cerveau par IRM

Les amygdales ont ensuite été mesurées, grâce à des images du cerveau obtenues par de l’imagerie à résonance magnétique (IRM) puis par reconstruction informatique à l’aide de programmes développés à l’université d’Harvard (FreeSurfer). Pour servir de contrôle en tant que structure cérébrale non impliquée dans les réseaux sociaux, les hippocampes ont également été mesurés. Pour éviter les variations dues aux tailles des différentes boîtes crâniennes, le volume mesuré des structures a été rapporté au volume cérébral total.


Des analyses de régression linéaire ont montré que les personnes possédant des réseaux sociaux plus vastes et plus complexes présentaient un volume des amygdales plus grand. Cette constatation a pu être établie quel que soit l’âge du participant (les amygdales rétrécissent avec l’âge), et quelle que soit l’amygdale considérée (il n'y a pas de latéralisation), alors que les hippocampes étaient totalement indépendants de la complexité du réseau social.


À l’inverse, la taille des amygdales n’était pas liée à d’autres paramètres comme la satisfaction de la vie, ou la perception du soutien social, indiquant que le bonheur d’avoir des amis n’est pas impliqué dans cette augmentation du volume des amygdales.



Mieux analyser pour mieux agir

En revanche, la mesure d’autres zones cérébrales et plus particulièrement de l’épaisseur corticale a permis de montrer que certaines régions en plus des amygdales sont aussi corrélées à la complexité du réseau social. Ainsi, le sillon temporal inférieur caudal, le gyrus frontal supérieur caudal et le cortex cingulaire subgénual antérieur sont tous les trois significativement plus épais que les autres parties du cortex. Ces trois régions auraient évolué conjointement avec les amygdales pour assurer la gestion d’un réseau social complexe.


Selon les auteurs, il s’agirait de la première démonstration d’une corrélation entre la taille des amygdales et la taille du réseau social au sein d’une même espèce. Mais dans quel sens cette relation s'établit-elle ? De plus grosses amygdales favorisent-elles les réseaux sociaux ou, au contraire, la fréquentation active de réseaux sociaux augmentent-elle la taille des amygdales ? L’étude publiée dans la revue Nature Neuroscience ne le dit pas... Ce qui est sûr, c’est que les amygdales nous permettent, en tant qu’animaux sociaux, de mieux comprendre nos congénères, afin d’établir des stratégies pour mieux coopérer ou entrer en compétition.


Futura Sciences
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