L\'entrainement en aérobie diminue l\'hyperréactivité bronchique (HRB) et l\'inflammation systémique chez les patients souffrant d\'asthme modéré à sévère: un essai randomisé contrôlé.
Prévalence de la bronchoconstriction induite par l’exercice (BIE) et de l’obstruction laryngée induite par l’exercice (OLIE) dans une population générale d’adolescents.
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Une variante génétique augmente les risques de diabète
Il est largement établi que le diabète de type 2 est principalement causé par une sécrétion insuffisante d’insuline. Deux groupes de recherche travaillant en étroite collaboration à Malmö ont mis en lumière une variante génétique pouvant affecter le fonctionnement des cellules productrices d’insuline.
Les chercheurs ont détecté une variante génétique présente dans environ 30 % de la population, susceptible de diminuer la sécrétion d’insuline et d’augmenter de 12 % les risques de déclencher un diabète de type 2.
De fait, cette variante agit sur la production de l’adénosine triphosphate (ATP) présente dans les mitochondries, les centrales électriques cellulaires de notre corps. Or, nous savons que le niveau d’ATP détermine la quantité d’insuline secrétée. Ainsi indirectement, via le niveau de l’ATP, cette variante a un effet sur la quantité d’insuline produite et sur la capacité de l’organisme à répondre face à des quantités élevées de sucre dans le sang.
Les effets de cette variante génétique ont été confirmés par des études à grande échelle sur des dizaines de milliers de participants. Ils ont aussi été étudiés en détail au cours d’expérimentations de laboratoire, que ce soit sur des souris ou in-vitro sur des cellules humaines productrices d’insuline.
Les chercheurs pensent avoir ouvert une nouvelle voie de traitement du diabète de type 2 passant par la stimulation des mitochondries en vue de déclencher la production d’ATP.