L\'entrainement en aérobie diminue l\'hyperréactivité bronchique (HRB) et l\'inflammation systémique chez les patients souffrant d\'asthme modéré à sévère: un essai randomisé contrôlé.
Prévalence de la bronchoconstriction induite par l’exercice (BIE) et de l’obstruction laryngée induite par l’exercice (OLIE) dans une population générale d’adolescents.
Membres enregistrés : 5,082
Membre le plus récent : abderahmene
Fini l'acide hyaluronique dans les seins
L'acide hyaluronique, produit de comblement injectable, ne pourra plus être utilisé pour augmenter le volume des seins, a décidé l'Agence française de sécurité sanitaire des produits de santé (Afssaps).
La décision datée du 26 août est justifiée "par mesure de précaution et malgré l'absence à ce jour de risque caractérisé" après publication des résultats préliminaires d'une étude clinique autorisée en 2008 qui a montré que ce produit pouvait perturber le dépistage des tumeurs dans la poitrine. Ces travaux « ont mis en évidence des risques de perturbation des clichés d'imagerie et de difficultés de palpation des seins lors d'examens cliniques", souligne l’Afssaps. Cet inconvénient n’est en revanche pas rencontré lors de l'implantation de prothèse mammaires, précise l’agence.
Le gel d'acide hyaluronique injectable Macrolane (QMED) est le seul produit concerné en France, l'utilisation de silicone liquide injectable ayant déjà été interdite en 2000.
L’Afssaps se veut néanmoins rassurante. "Aucun événement indésirable grave (lié au Macrolane NDLR) n'a été mis en évidence au cours de ces trois dernières années d'utilisation, en France comme en Europe", a spécifié l’agence. Environ 2500 femmes l'ont utilisé en France pour une augmentation mammaire.
Les femmes ayant eu recours à une augmentation mammaire par injection de Macrolane "ne sont pas sujettes à un suivi médical particulier autre que celui prévu par leur praticien", selon l’Afssaps. Il leur est toutefois recommandé de l’indiquer au radiologue en cas de mammographie, d'échographie ou d'IRM des seins, en précisant la date.
L'Afssaps souligne par ailleurs que cette décision "ne remet pas en question" l’utilisation de produits injectables dans d’autres parties du corps (visage, fesses, mollets, comblement des rides).