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humain papillomavirus est plus fréquents chez les hommes que les femmes |
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| Infections de la bouche et la gorge par le humain papillomavirus(HPV), la maladie la plus commune sexuellement transmissibles qui peut mener au cancer, est plus fréquents chez les hommes que les femmes, selon une étude américaine.
Près de sept pour cent de la population âgée de 14 à 69 aux États-Unis ont le VPH, a déclaré la recherche publiée dans le Journal of the American Medical Association, avec un taux de prévalence de 10,1 pour cent chez les hommes et 3,6 pour cent chez les femmes.
Les résultats jettent plus de lumière sur une épidémie croissante de VPH qui pourrait justifier des essais cliniques d'un vaccin contre le VPH contre les lésions buccales, les auteurs de l'étude.
Actuellement, le vaccin contre le VPH est recommandé pour les filles et les garçons dès l'âge de neuf et 10 pour prévenir les cancers cervicaux et anaux et les verrues génitales.
Oral HPV est plus fréquent chez les personnes qui avaient plusieurs partenaires sexuels , et était également plus fréquente chez les fumeurs actuels, les buveurs d'alcool et de marijuana parmi les utilisateurs actuels et anciens.
Taux de pointe de VPH orale chez les hommes ont été vus à l'âge de 60-64 ans, avec 11,4 pour cent des cas dans cette tranche d'âge. La plus haute prévalence de VPH a été vu dans l'âge des hommes 30-34.
Selon l'auteur principal Maura Gillison de l'Ohio State University Comprehensive Cancer Center, les données suggèrent que le sexe - et non de simples contacts ou les baisers - est probablement la cause de l'infection au VPH orale.
«Pris ensemble, ces données indiquent que la transmission par contact occasionnel non sexuelle est susceptible d'être inhabituel», écrit-elle, invitant davantage d'études dans ce domaine pour établir ce que les chercheurs appellent l '«histoire naturelle» d'une maladie.
"l’ infection au VPH est la cause d'un cancer qui est en augmentation dans l'incidence aux États-Unis, on sait peu concernant l'épidémiologie de l'infection", a écrit Gillison.
«Les études d'histoire naturelle de l'infection par le VPH orale sont donc nécessaires pour comprendre les effets de l'âge, le sexe et facteurs de risque modifiables (par exemple, le tabagisme et le comportement sexuel) sur l'incidence et la durée de l'infection à HPV par voie orale."
Les cancers buccaux ont «considérablement augmenté au cours des trois dernières décennies dans plusieurs pays et le VPH a été directement impliquée comme la cause sous-jacente», selon l'information fournie dans l'article.
Gillison, qui a étudié le VPH et le cancer depuis 15 ans, lors d'une conférence scientifique américaine l'an dernier que lorsque l'on compare les personnes qui ont le VPH orale à ceux qui ne l’ont pas, «le facteur le plus important est le nombre de partenaires sur lesquels la personne a effectué le sexe oral. "
Les personnes avec des infections au VPH orale ont 50 fois plus de chances d'avoir un cancer par voie orale que les personnes qui ne l’ont pas le VPH.
Les chercheurs ont constaté une augmentation de 225 pour cent de cas de cancer par voie orale aux Etats-Unis de 1974 à 2007, principalement chez les hommes blancs.
Le HPV est lié à près de 13.000 cas de cancer du col de l'utérus chaque année aux Etats-Unis les femmes, 4300 qui sont mortels. Les chercheurs prévoient que le nombre de cas de cancer de la bouche dépassera le nombre de cas de cancer du col de l'utérus au cours des huit prochaines années.
Même si des études ont montré que les vaccins peuvent être efficaces dans la prévention des infections au VPH génitaux, cela peut prendre des décennies avant que tout avantage potentiel est vu dans la réduction du taux de cancers liés au VPH, a dit un éditorial d'accompagnement par Hans Schlecht de la Drexel University College of Medicine.
«Les cliniciens doivent encourager leurs patients qui ont des relations sexuelles orales d'utiliser une barrière de protection», écrit-il.
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