L\'entrainement en aérobie diminue l\'hyperréactivité bronchique (HRB) et l\'inflammation systémique chez les patients souffrant d\'asthme modéré à sévère: un essai randomisé contrôlé.
Prévalence de la bronchoconstriction induite par l’exercice (BIE) et de l’obstruction laryngée induite par l’exercice (OLIE) dans une population générale d’adolescents.
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Une avancée pour traiter l'obésité
Des scientifiques américains ont découvert un déclencheur biochimique qui se met en marche cellules de graisse brune de sorte que le corps brûle des calories au lieu de les stocker. Cette conclusion apporte une nouvelle orientation à la recherche pharmaceutique visant à lutter contre l'obésité.
Yuriy Kirichok, professeur agrégé de physiologie à l'Université de Californie à San Francisco (UCSF), et ses collègues, ont réussis à d'écrire au sujet de leurs conclusions dans un article publié en ligne le 12 Octobre l' question de la cellule . La graisse brune brûle des calories pour produire de la chaleur, contrairement à la graisse blanche, qui stocke les calories dans les dépôts bien trop évidentes qui affligent le nombre croissant de personnes en surpoids et obèses. Ce n'était pas il ya si longtemps que nous ne savont pas beaucoup sur le tissu adipeux brun (également connu sous le tissu adipeux brun, ou BAT). Jusqu'à tout récemment, nous avons pensé que les seuls ceux qui ont eu il y avait des bébés. Maintenant, nous savons que les adultes ont de petites quantités, mais important, dans diverses parties du corps. Nous savons aussi que les basses températures activer graisses brunes à générer de la chaleur à partir de l'énergie stockée dans les molécules de graisse (ce qui explique pourquoi il est plus abondant dans les animaux qui hibernent comme Les ours et les petits mammifères, avec beaucoup de surfaces exposées du corps). Dans leur article, Kirichok et ses collègues décrivent leur découverte d'un mécanisme biochimique dans le UCP1 protéine qui allume la combustion des graisses dans les cellules de TAB. (UCP1 est l'abréviation de la protéine découplante 1 ). Dans une déclaration à la presse, Kirichok, le D. Jack et Deloris Lange de la chaire de Physiologie des systèmes à l'UCSF, suggère qu'il pourrait être possible de mettre au point une molécule de médicament qui maintient l'interrupteur UCP1 dans le " sur "mesure d'augmenter la combustion des graisses dans le corps . Cependant, nous sommes encore loin de savoir si une telle approche serait pratique pour le contrôle du poids.