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La consommation de fruits et risque de diabète de type 2 |
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| Les fruits sont riches en fibres, en antioxydants et phytochimiques qui peuvent avoir des effets bénéfiques sur la santé. Augmenter la consommation de fruits a été recommandée pour la prévention primaire de nombreuses maladies chroniques, dont le diabète de type 2, 1, bien que des études épidémiologiques ont produit des résultats mitigés concernant le lien avec le risque de diabète de type 2.
L'incohérence Parmi ces études peuvent s'expliquer par des différences dans les types de fruits consommés dans différentes populations étudiées ainsi que les différences dans les caractéristiques des participants, la conception de l'étude et les méthodes d'évaluation, mais une méta-analyse n'a pas montré que les associations diffèrent selon le sexe, la conception de l'étude ou l'emplacement. En outre, dans une étude récente, la plus grande variété, mais non la quantité de fruits consommés a été associée à un risque moindre de diabète de type 2. Cette constatation suggère que les fruits individuels pourraient ne pas être aussi associés à un risque de Type diabète de type 2 en ce que les fruits ont des teneurs très variables de fibres, d'antioxydants, d'autres nutriments et de composés phytochimiques qui peuvent conjointement influencer le risque.
En outre, l'indice glycémique, ce qui représente la qualité des glucides, ou charge glycémique, ce qui représente la qualité et la quantité de glucides et de leur interaction, varient considérablement pour les fruits individuels.
Dans les trois cohortes, la consommation totale de fruits entiers était positivement corrélée avec l'âge, l'activité physique, la consommation de multivitamines, l'apport énergétique total, la consommation de jus de fruits, et la santé alternative modifié manger score de l'indice, et était inversement associée à l'indice de masse corporelle et le tabagisme actuel. La consommation de fruits entiers est associée à une probabilité accrue de l'utilisation des hormones post-ménopausiques dans de l'Étude sur la santé et avec une probabilité réduite de l'utilisation des contraceptifs oraux dans la Nurses 'Health Study les infirmières II.
Fruits individuels ont été corrélés entre eux faiblement à modérément, les coefficients de corrélation de Spearman plus élevés ont été 0,44 entre des pommes et des oranges dans la Nurses 'Health Study, 0,47 entre les fraises et des pêches dans la Nurses' Health Study II, et de 0,48 entre les fraises et les bleuets dans le Professionnels de la santé étude de suivi (voir tableau complémentaire 2). Les coefficients de corrélation de Spearman pour les fruits entiers totale par rapport à l'autre score de l'indice de l'alimentation saine modifié s'élève à 0,22 pour la Health Study, 0,29 pour les infirmières et infirmiers des infirmières et infirmiers Health Study II, et de 0,28 pour les professionnels de la santé étude de suivi, ceux pour l'individu fruits variait de 0,09 (pour les bananes) à 0,23 (pour les pommes et les poires) dans la Nurses 'Health Study, de 0,13 (pour les bananes) à 0,24 (pour les pommes et les poires) dans la Nurses' Health Study II, et de 0,09 (pour les pêches, les prunes et les abricots) à 0,24 (pour les pommes et les poires) dans les Health Professionals Follow-up Study.
A partir de ces études on comprend qu'il existe une hétérogénéité importante dans les associations entre les fruits individuels et le risque de diabète de type 2. Une plus grande consommation de fruits entiers spécifiques, en particulier les bleuets, les raisins et les pommes, était significativement associée à un risque moindre de diabète de type 2, alors que plus de la consommation de jus de fruits était associée à un risque plus élevé. Les différences dans les associations entre les fruits individuels n'ont pas été comptabilisés par la variation des valeurs de charge d'index / glycémique indice glycémique des fruits individuels. Dans l'ensemble, ces résultats soutiennent les recommandations sur la consommation croissante d'une variété de fruits entiers, en particulier les bleuets, les raisins et les pommes, comme mesure de prévention du diabète.
Source :
http://www.bmj.com/content/347/bmj.f5001 |
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