L\'entrainement en aérobie diminue l\'hyperréactivité bronchique (HRB) et l\'inflammation systémique chez les patients souffrant d\'asthme modéré à sévère: un essai randomisé contrôlé.
Prévalence de la bronchoconstriction induite par l’exercice (BIE) et de l’obstruction laryngée induite par l’exercice (OLIE) dans une population générale d’adolescents.
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Ce qui accroît ou diminue les risques de développer le cancer
L’Institut national du cancer et la direction générale de la Santé, en France, viennent de publier un document pour guider les professionnels de la santé à ce sujet.
L’alcool, le surpoids, le sel ou les viandes rouges sont déconseillés. En revanche, l’activité physique, l’allaitement maternel et la consommation de fruits et de légumes diminuent les risques de développer la maladie.
À éviter
Le premier coupable, c’est l’alcool. La consommation de boissons alcoolisées est associée à une augmentation du risque de développer plusieurs types de cancers: bouche, pharynx et larynx, œsophage, côlon-rectum, sein et foie. Les petites doses répétées sont particulièrement nocives.
Les surpoids et l’obésité sont aussi des facteurs de risques pour les cancers suivants: œsophage, endomètre, rein, côlon-rectum, pancréas, sein (après la ménopause) et vésicule biliaire.
La consommation d’une portion de 100g de viande rouge par jour et de 50g de charcuteries favoriserait aussi les risques de cancer. Trop de sel ou la consommation d’aliments trop salés sont aussi pointés du doigt.
À favoriser
Il n’y a pas de recette magique, mais le rapport indique que l’activité physique est associée à la diminution du risque des cancers du côlon, du sein (après la ménopause) et de l’endomètre dans des proportions allant de 18% à 29%. On recommande cinq séances de marche rapide d’au moins 30 minutes chaque semaine ou trois séances de 20 minutes d’activités plus intenses.
La consommation de fruits et de légumes diminue les risques pour les cancers de la bouche, du pharynx, du larynx, de l’œsophage, de l’estomac et du poumon. Enfin, l’allaitement maternel est associé à une diminution du risque de développer un cancer du sein, que ce soit avant ou après la ménopause.